Privilégiée, même si le mot ne peut pas transcrire toutes les sensations, c’est un des mots qui tend à l’exprimer ce que j’ai ressenti là, au somment du mont Terevaka. A 507 mètres d’altitude sous mes pieds s’étend les 161km² de ce petit caillou au milieu du pacifique.
Envoûtante : un autre mot pour décrire la découverte et l’histoire de ces polynésiens devenus obstinément sculpteurs de Moaïs. Les découvrir à terre, cassés et puis dressés géants et puissants. La seule route de l’île vous emporte de site en site, le bout de la route s’arrête à Anakena, surement le site le plus idyllique de Rapa Nui et la seule page de sable blanc.
Mystérieuse : En randonnées entre les Pukao les chapeaux de couleur rouge volcanique, essayez de décripter le « Rongo-Rongo » une écriture océanienne unique et jamais traduit… Il est maintenant temps de monter à cheval, pour découvrir le reste de l’île, réserve naturelle géante et préservée.
Et puis découvrir Rono Raraku, volcan berceau de ces géants de pierre au pied duquel gisent des centaines de Moaïs, Tongariki qui sublime chaque levée de soleil et sur lequel veille des milliard d’étoiles ou encore Aha Aviki où ces 7 moaïs sont les seuls de l’île qui sont tournés vers la mer, on dit qu’ils regarderaient symboliquement en direction de leur île polynésienne natale….
